Dans cet article, nous vous donnerons les techniques pour bien vendre en ligne en 2023.

Les ventes e-commerce sont quant à elles passées de 57 milliards en 2014 à 112,2 milliards d’euros en France en 2021, soit une croissance fulgurante de 96,5 % en 7 ans. Plus généralement, le e-commerce représente 4938 milliards de dollars dans le monde entier et ce chiffre augmente chaque année.

Les cyberacheteurs sont désormais habitués à acheter en ligne et cela se lit dans leurs exigences de plus en plus élevées : prix compétitif, livraison rapide, notifications de suivi… En cas de mauvaise expérience, ils n’hésiteront pas à passer commande sur un autre site e-commerce, ce qui rend leur fidélisation extrêmement compliquée.

Si le e-commerce s’est largement répandu dans les habitudes des consommateurs, il est également à la portée de tous opérationnellement : nul besoin d’être un expert du e-commerce ou du développement informatique pour vendre en ligne. Bien au contraire, avec la généralisation du e-commerce, de nombreux logiciels e commerce ont vu le jour ces dernières années et ont facilité le lancement de nombreux business. Cette tendance se lit dans les chiffres de la FEVAD, qui dénombre en 2021 un total de 177 000 sites e-commerce en France. 

Mais comment vendre en ligne en 2022 ? Quelles sont les bonnes pratiques à avoir en tête ? Sur quels logiciels e commerce s’appuyer ? Laissez-vous guider pas à pas dans cet article !

Qu’est-ce-que la vente en ligne ?

La vente en ligne, aussi appelée e-commerce ou commerce électronique, regroupe toutes les transactions financières qui se concluent sur internet.

Il est possible de vendre en ligne tant des produits que des services et ont lieu entre entreprises (B2B, “Business to Business”), entre entreprises et particuliers (B2C, Business to Consumer), voire entre particuliers (C2C, Consumer to Consumer).

L’e-commerce BtoC (Business-to-Consumers) est la forme de e-commerce la plus répandue dans le monde. L’e-commerce BtoB (Business-to-Business), quant à lui, est une pratique qui prend de plus en plus d’ampleur et offre de nouvelles sources de revenus pour les marchands souhaitant faire passer leur entreprise au niveau supérieur.

Enfin, le social commerce est – comme n’importe quel autre secteur économique – régi par la loi : il y a donc des mentions obligatoires à faire apparaître sur tous sites e-commerce (protection des données, délai de livraison, politique de retours…)

vendre en ligne

Étape 1 pour vendre en ligne : définir votre business model

Un business model, appelé également modèle économique ou modèle d’affaires, décrit précisément comment votre entreprise va réaliser des bénéfices. En pratique, cela revient à définir ce que vous allez vendre, auprès de quels clients, dans quel but, de quelle manière et pour quel(s) bénéfice(s).

1. Effectuer une analyse FFOM (forces, faiblesses, opportunités et menaces)

L’analyse FFOM (ou SWOT) vous permet d’avoir une représentation objective et réaliste de votre entreprise au sein de son marché pour prendre des décisions stratégiques et prioriser les actions à mener. L’analyse FFOM vous aide également à avoir un aperçu clair de vos concurrents sur le marché. Il est donc un excellent moyen d’apprendre à se distinguer des autres !

2. Établir le profil des clients à qui vendre en ligne

“Quelle est ma cible ?” S’il y a bien une question essentielle à se poser lorsqu’on lance son business e commerce, c’est bien celle-ci. Seule cette question vous permettra de connaître de façon précise vos acheteurs potentiels, leurs attentes et problématiques. Pour cela, la création de Persona peut-être très utile.

3. Évaluez les 4 P du marketing :

Produit : quel produit ou service répondra le mieux à aux besoins/ à la demande des client.es ? 

Prix : combien allez-vous facturer ? Pourriez-vous rajuster vos prix pour accroître votre avantage concurrentiel ? Le prix dépend généralement du coût de fabrication, de la commercialisation, de la distribution et de la vente du produit, ainsi que de la marge bénéficiaire que vous souhaitez obtenir.

Place (emplacement) : où votre produit ou service est-il recherché, acheté et utilisé ? Vos offres sont-elles disponibles là où les client.es sont le plus susceptibles de les trouver ? Veillez à prendre en compte les emplacements physiques et en ligne.

Promotion : par quel moyen allez-vous communiquer avec votre clientèle et lui vendre vos produits? C’est ce à quoi la plupart des gens pensent lorsqu’il est question de «marketing» et cela peut comprendre la publicité, les ventes en personne, les relations publiques, le marketing effectué sur les médias sociaux ou par courriel et d’autres tactiques promotionnelles.

4.Définir un budget pour vendre en ligne

Combien vais-je investir ? Plusieurs centres de coûts sont à prendre en compte :
→ L’achat des produits
→ Canal de vente choisi et frais liés
→ Outils divers et variés (comptabilité, gestion de la relation client, outils marketing…)
→ Stockage si nécessaire
→ Logistique
→ Livraison (coût du transport)
→ Budget publicité
→ Ressources humaines
→ …

Puis mettez ce budget en face des retombées attendues pour être rentable :
→ Quelle part de marché ?
→ Quelle marge optimale je souhaite réaliser ?
→ Quel est le chiffre d’affaires souhaité ?
→ Quel volume de commandes je souhaite réaliser ? Sur quelle période?

Une fois que votre business model est formalisé et clair, sélectionnez les canaux de vente sur lesquels vous souhaitez vendre.

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Étape 2 pour vendre en ligne : sélectionner les canaux de vente les plus pertinents

Il existe aujourd’hui plusieurs canaux de vente pour vendre en ligne : Marketplaces, CMS, Ventes Privées, sites de vente entre particuliers (Leboncoin par exemple), et même les réseaux sociaux. Chacun de ces canaux de vente ont leurs spécificités et leur business model. 

Faisons ensemble un focus sur chacun d’entre eux. 

Avant de commencer cette nouvelle partie, découvrez quels sources de vente le e-commerçant Audilo vous conseille afin d’augmenter vos ventes.

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1. Les sites de vente entre particuliers :

Avant l’avènement d’Internet, il fallait se rendre dans les brocantes ou participer aux vide-greniers pour profiter d’objets d’occasion. Avec l’émergence du e-commerce, on a maintenant LeBonCoin, Vintend, la Reboucle, Videdressing pour nous faciliter la vie. D’ailleurs, ces noms vous disent peut-être quelque chose. Il s’agit de sites de vente en ligne entre particuliers. Le principe est simple : des particuliers proposent à l’achat, sur des plateformes de vente en ligne, des produits, qu’ils n’utilisent pas ou plus, des biens, qu’ils louent ou vendent (et ainsi de suite…) à destination d’autres particuliers.

On nomme cette pratique le « C to C », customer to customer ou bien encore le marché de la “seconde main”. Les particuliers sont à la fois acheteurs et vendeurs – les plateformes n’étant qu’un intermédiaire rendant possible cet échange. D’après une étude réalisée par PAP, 48% des Français ont déjà vendu ou acheté un article auprès d’un particulier. Le “C to C” (Customer-to-Customer) ou le marché de la seconde main est une pratique très en vogue chez les consommateurs.

AvantagesMise en ligne d’annonces souvent gratuite, pas de commission, grande visibilité, sites connus et maîtrisés par la plupart des acheteurs/consommateurs
InconvénientsClientèle à l’affût des prix les plus bas possible, visuels des produits peu attrayants, difficulté de vendre des produits de plus grande valeur
Modèle économiqueTrès souvent la publicité, les services aux professionnels, les options de visibilité, et même les commissions (Exemple de Vinted : 5% + 0,70€ par vente)
À qui s’adresse ce canal de vente ?Débuter sur les sites de vente entre particuliers est assez commode pour les vendeurs, dans le sens où ils éliminent la nécessité de se constituer en auto-entreprise avant de commencer à vendre. Ainsi, vous ne payez pas d’impôts ou de taxes en revendant des objets d’occasion. C’est donc l’idéal pour faire de la vente une seconde source de revenus.

2. Les Marketplaces :

Amazon, Cdiscount, Fnac, La Redoute….L’ascension des marketplaces est fulgurante, à tel point qu’elles sont devenues incontournables. D’après la FEVAD, 33 % des ventes en ligne passe par les marketplaces en 2021, pour un CA total de 130 milliards d’euros, contre 90 milliards en 2018. 

Mais qu’est ce qu’une Marketplace ? 

Aussi appelée Place de Marché, une marketplace est un site internet sur lequel des vendeurs indépendants, professionnels ou particuliers, vendent leurs produits ou services en ligne moyennant, le plus souvent, une commission prélevée par la marketplace sur chaque vente.

AvantagesGrande simplicité d’utilisation, prix d’entrée faible, grande visibilité, sécurité des transactions, confiance des acheteurs en ces plateformes (qui imposent aux vendeurs une grande rigueur quant à l’expérience d’achat), pas de budget marketing/communication à investir
InconvénientsPeu de personnalisation, forte concurrence (à la fois en termes de nombre de marchands qui investissent les marketplaces mais également en termes d’offres. En effet, plusieurs marchands peuvent positionner des offres sur un même produit), les performances imposées par les marketplaces, les frais de commission, la fidélisation difficile des clients qui jonglent d’une boutique à l’autre
Modèle économiqueCommission, systèmes d’abonnement, listing fees, lead fees… La plus répandue étant la commission. D’après Mirakl, le taux de commission varie en fonction des catégories de produits proposées : de 12 à 15% en moyenne pour l’alimentaire et de 6 à 10% pour l’électronique grand public
À qui s’adresse ce canal de vente ?Les marketplaces s’adressent aux marchands qui souhaitent commencer à vendre de manière simplifiée, sans investir de budget marketing, et tout en profitant de la visibilité offerte par les marketplaces. Bref avec un retour sur investissement plus ou moins rapide.
À retenir :Si les marketplaces facilitent la lancement d’un business e commerce, il n’en demeure pas moins qu’en cas de mauvaises performances, votre compte se retrouvera très vite fermé. Et oui, les marketplaces veillent au grain : en tant que marchand, vous faites leur réputation !

Comment choisir la marketplace qui me conviendra le mieux ? Voici rien que pour vous quelques critères à prendre en compte :

  • Nombre de visites : plus la plateforme est visitée, plus il y a de clients potentiels, mais le revers de la médaille est que plus la concurrence est rude !
  • Le nombre de vendeurs présents sur la plateforme : j’étudie bien l’offre en allant voir ce que proposent les autres vendeurs.
  • Les frais de commission.
  • La spécialisation : les plateformes sont plus ou moins spécialisées. Une plateforme spécialisée m’apportera des personnes qui cherchent vraiment le type de produits que je vends et donc à mieux cibler mon persona

3. Les CMS e-commerce :

Les CMS e commerce ont été inventés dans les années 2000, le premier d’entre eux étant OsCommerce. Ils répondent à un besoin de plus en plus grandissant face à l’explosion de la vente en ligne : permettre à tous les marchands d’ouvrir une boutique en quelques clics, grâce à un code source déjà développé pour eux. Avec le CMS e-commerce, les marchands peuvent alors créer et mettre à jour leur boutique e-commerce, gérer leur catalogue produit et vendre en ligne facilement. C’est pourquoi au fil du temps, ils sont de plus en plus nombreux à les utiliser.

AvantagesMaîtrise totale de mon image de marque, de mes tarifs, développer son portefeuille clients
InconvénientsInvestissement marketing/communication à prévoir, coût techniques à prévoir (notamment l’hébergement en fonction du CMS choisi), difficulté pour se faire connaître
Modèle économiqueGénéralement, la plupart des CMS fonctionnent à l’abonnement et/ou à la commission, ou à l’installation de plugin/modules payants.
À qui s’adresse ce canal de vente ?Les CMS s’adressent à ceux qui souhaitent construire une véritable image de marque dès le lancement de leur business, et qui souhaitent donc y investir le budget nécessaire.
À retenirIl existe 2 types de CMS e-commerce : les CMS SaaS  et les CMS open source.

– Dans les CMS Saas, nous retrouvons Shopify, Wizishop et Oxatis. Un CMS e-commerce SaaS est une solution clé en main prête à l’emploi moyennant un abonnement mensuel ou annuel. Le logiciel appartient à un éditeur qui gère toute la partie technique hébergement, sécurisation, maintenance). Bref, un CMS SaaS permet d’être opérationnel très rapidement car son utilisation ne nécessite aucune compétence technique en développement.

– Dans les CMS e-commerce Open source, nous retrouvons Prestashop, Magento ou Woocommerce.
Il s’agit de solutions open-source gratuites, qu’il vous convient d’installer et de personnaliser à la hauteur de vos attentes. Ils nécessitent donc d’avoir des compétences techniques un peu plus poussées. 

4. Les Ventes Privées

Veepee, Showroomprivé, et dernièrement The Bradery : vous avez certainement déjà commandé sur une de ces ventes privées. Aussi appelés sites de “flash sales” ou de “ventes événementielles”, les sites de ventes privées organisent une « vente événement », limitée dans le temps (2 à 3 jours en moyenne) et en quantités, à des prix très compétitifs car issus des surplus de stocks invendus. Les prix défiant toute concurrence ainsi que la durée limitée de l’opération provoquent un effet d’opportunité et d’urgence chez le consommateur.

AvantagesVente rapide et en grande quantité
InconvénientsPas de réelle maîtrise sur le prix de vente, l’image de marque
Modèle économiqueCommission sur les ventes réalisées
À qui s’adresse ce canal de vente ?A des acteurs avec grandes quantités de stock
À retenirLes ventes privées proposent à la vente les produits des marques avant même d’avoir acheté le stock. Ce n’est qu’une fois que l’opération est terminée, que le site commande la quantité exacte vendue auprès du fournisseur. Le marchand/le fournisseur expédient ensuite les commandes – sous forme de palette BtoB – à la plateforme de vente privée, qui elle-même les envoie au consommateur final. Ce process logistique, vous le comprenez, peut prendre du temps, et c’est pour cette raison que souvent les délais de livraison annoncés lors de vente privées sont assez longs (3 à 4 semaines). Pour palier à ce problème, vous pouvez vous équiper d’une solution logistique comme Shippingbo qui vous permettra de vous connecter à votre site de ventes privées et de récupérer automatiquement les commandes pour les envoyer vous-même au consommateur final ! C’est ce que l’on appelle le Dropshipping.

5. Les réseaux sociaux ou la nouvelle tendance du social commerce

Et oui, au même titre que les marketplaces ou les CMS, les réseaux sociaux sont aujourd’hui également considérés comme des canaux de vente à part entière ! Et oui, Facebook marketplace ou Instagram Shopping : c’est ce que l’on appelle le social commerce, la dernière tendance du moment. 

Mais qu’est ce que le social commerce ?

Le social commerce peut être défini comme l’utilisation des réseaux sociaux pour vendre des produits ou services. Derrière ce terme, on place les réseaux sociaux au cœur du parcours client, dans le but d’améliorer l’expérience d’achat et d’augmenter les ventes. Ainsi on ne se contente plus de vendre grâce aux réseaux sociaux, mais l’on vend sur les réseaux sociaux. C’est pour cela que l’on parle aussi de Social Shopping ou de s-commerce.

Étape 3 pour vendre en ligne : penser marketing !

Ça y est, votre site de vente en ligne est lancé (ou bien sur le point de l’être…), toutes nos félicitations ! Il ne vous reste plus qu’à attirer vos (futurs) clients sur votre site e-commerce ! C’est pourquoi on a conçu rien que pour vous une check liste des fondamentaux marketing à avoir en tête !

Avant de commencer cette nouvelle partie, découvrez comment obtenir la meilleure visibilité sur les marketplaces en alliant marketing et logistique.

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1. Optimiser le référencement naturel (SEO) de votre site

Le choix des mots-clés est capital dans la vente en ligne, car c’est ce qui va lui permettre de se positionner sur les requêtes tapées par son audience cible. Vos mots-clés doivent donc être pertinents au regard de vos produits mais également de votre secteur d’activité.

Quelques outils à utiliser : Keyword Tool Dominator, SEMush, Google Search Console, Screaming Frog, OnCrawl, Ahrefs, Semji, …

2. Développer votre présence sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont les meilleurs outils pour travailler votre image de marque et créer une véritable communauté autour de celle-ci. Avant de vous lancer, il est cependant important de réfléchir à une stratégie pertinente et de vous poser la question suivante : quels sont les objectifs liés à ma présence sur les réseaux sociaux ? Pour cela, nous vous conseillons d’utiliser la méthode SMART.

S pour “SpécifiqueExposez votre objectif de façon claire et précise.
Par exemple : je suis une jeune entreprise, mon objectif premier va être de me faire connaître et d’acquérir de la notoriété dans un premier temps via les réseaux sociaux. 
Cela vous permettra notamment de déterminer le niveau de ressources à allouer aux réseaux sociaux, votre plan d’action, etc.
M pour “Mesurable”Votre objectif doit être mesurable. Pour cela, les KPIs (indicateurs clés de performance) seront vos alliés !
A pour “Atteignable”Pour qu’un objectif soit motivant et pertinent, il doit rester atteignable ! Inutile donc de viser un objectif largement au-dessus.
R pour “Relevant”À ne pas confondre avec l’objectif précédent, la notion de pertinence renvoie davantage à la capacité à viser un objectif pertinent et surtout au service de votre rentabilité (un objectif peut tout à fait être atteignable mais non rentable pour vous!)
T pour “Temporel”Définissez une deadline !

Plusieurs réseaux sociaux sont à votre disposition : Facebook, Linkedin, Instagram, Twitter, TikTok… mais attention, tous n’ont pas la même audience, et tous ont une visée différente ! Votre stratégie réseaux sociaux devra donc être pensée de manière différenciée selon chaque média. Réfléchissez ensuite au type de contenu que vous souhaitez diffuser sur chacun d’entre eux. 

Mais attention, pour commencer, inutile d’investir toutes les plateformes ! Nous vous conseillons de concentrer dans un premier temps vos efforts sur une ou deux plateformes qui touchent votre cœur de cible.Pour vous faire connaître rapidement, il peut être intéressant également de mettre en place des jeux concours ou des codes promotionnels.

Quelques outils pour gérer vos réseaux sociaux : Hootsuite (pour la planification de posts), Talkwalker Free Social Search (pour le suivi des campagnes et des hashtags), Canva (pour créer des designs rapidement et à moindre coût)

3. L’emailing

L’emailing est un canal de communication utilisé pour développer votre business et acquérir de nouveaux clients grâce à l’envoi d’emails. C’est un excellent canal de communication avec un très bon ROI (retour sur investissement)

Attention, votre business étant orienté business to consumer (BtoC), vous n’êtes pas autorisé à démarcher directement une personne si celle-ci n’a pas préalablement donné son accord.

Les deux premières choses à faire pour développer l’emailing sont donc de  :

  • Créer une liste d’email de vos clients (cependant, à noter que même vos clients doivent être informés que leurs adresses emails serviront potentiellement à des fins commerciales)
  • Créer un système de collecte d’emails 

Puisqu’il est impossible pour vous de joindre directement les prospects, il faut donc les attirer vers votre boutique. Voici quelques idées : 

  • Créer une pop-up sur votre site e-commerce. Pour inciter à l’inscription et récupérer le plus de contacts possible, beaucoup de marchands créent des codes promotionnels ou des offres pour tout abonnement à votre newsletter. 
  • Créer une landing page dédiée

Quelques outils à utiliser : sendinblue, mailchimp.

5. SEA ou Search Ads

Le Search Engine Advertising ou SEA est une technique utilisée par les webmarketeurs dans le but de diffuser des annonces publicitaires en ligne

Il existe deux type de campagne SEA : 

  • Le “display” où les publicités sont diffusées sur les sites partenaires des moteurs de recherche 
  • La campagne “search” où les liens sponsorisés ne s’affichent que sur les moteurs de recherche

Le SEA prend de plus en plus d’ampleur, notamment dans le e-commerce. Et pour cause : dans certaines requêtes commerciales, les résultats organiques ne représentent qu’une petite partie des résultats de la première page, le reste étant consacré aux annonces payantes !
Notre conseil ultime pour maximiser l’impact de vos annonces : segmentez-les !

Quelques outils à utiliser : Google Keyword Planner, Catchr, SEMrush

 6. Le marketing d’influence

Le marketing d’influence est le canal de marketing qui a connu la plus forte croissance ces dernières années. Vous pouvez également mettre en place des partenariats avec des influenceurs / blogueurs pour faire connaître vos produits et développer votre image de marque. Pour choisir l’influenceur qui représentera au mieux votre marque, voici une série de questions qu’il est capital de se poser avant de faire un choix : 

Pour identifier l’influenceur qui convient à votre entreprise, vous devez effectuer un véritable travail de recherche. Voici ce sur quoi vous devez vous pencher :

  1. De combien de followers dispose-t-il ?
  2. Quelles valeurs dégage-t-il /t-elle ? 
  3. Quelle est le persona type de sa communauté ? 
  4. Sur quel canal fait-il/fait-elle de la publicité actuellement ? 
  5. Quel est l’engagement de sa communauté ?

7. Les événements e-commerce

De nombreux événements e-commerce dédiés à la thématique du e-commerce, de la logistique et du transport existent et sont souvent gratuits. Parmi eux nous pouvons citer le Paris Retail Week, le SITL, Marketplace connect, Ecommerce connect, Le E Marketing Paris…

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Étape 4 pour vendre en ligne : ne pas oublier les options de paiement

Le paiement est l’une des priorités sur lesquelles les e-commerçants doivent se pencher pour améliorer leur taux de conversion et éviter l’abandon de panier. Il est donc impératif de proposer aux consommateurs des solutions de paiement pratiques, mais également sécurisées et rassurantes.

Avant de commencer cette nouvelle partie, découvrez comment passer de 100 à 4500 commandes par jour grâce à l’OMS omnicanal

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Liste des prestataires de service de paiement connus et fiables :

Quels moyens de paiement proposer aux clients ?

Le choix de votre prestataire de services de paiement devra être conditionné par les modes de paiement qu’il vous offre. Bien sûr, au plus le consommateur aura le choix, au plus il sera satisfait. Selon Médiamétrie, plus de la moitié des acheteurs en ligne utilisent désormais plusieurs moyens de paiement, avec une moyenne de 2 moyens différents par consommateur.

 Ainsi, pour une satisfaction optimale du consommateur et une limitation des abandons de panier, nous vous conseillons de veiller à ce que la solution choisie vous propose :

  • Le paiement par carte bancaire
  • Le paiement par virement bancaire
  • Le paiement par portefeuille électronique (Lydia, Paypal)

Un point d’attention tout particulier doit être donné à votre page de paiement. En effet, au plus votre page sera personnalisée et lisible, au mieux vous conforterez le client dans son achat ! Et oui, le formulaire de paiement que vous allez proposer à vos clients fait  partie intégrante du tunnel de conversion. Il est donc indispensable de soigner cette page pour éviter de perdre des ventes. Lorsqu’un internaute arrive sur cette page, il est nécessaire qu’il soit en confiance sur votre site.

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Étape 5 pour vendre en ligne : varier ses options de livraison

Aujourd’hui les clients ne comparent pas simplement les prix mais également les options de livraisons qui leur sont proposées. Ainsi, si un site e-commerce ne propose pas l’option de livraison souhaitée au consommateur, ce dernier n’hésitera pas à rechercher le produit sur un autre site qui lui proposera l’option, et ce, même si le prix est un peu plus élevé.

Avant de commencer cette nouvelle partie, découvrez comment optimiser vos coûts transport et votre livraison e-commerce

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C’est pourquoi, pour apporter entière satisfaction au consommateur et remporter une vente, il est impératif, au delà du prix, de proposer le plus d’options de livraison possible afin de laisser le choix au consommateur dans la façon dont il souhaite être livré.

Pour cela, nous vous conseillons d’adresser les 4 principales options de livraison du marché :

Click and CollectConsiste pour le consommateur à acheter un bien à distance et de venir ensuite le retirer en boutique physique.
Point de retraitRéseau d’acteurs qui proposent aux acheteurs en ligne de venir récupérer leur commande dans l’un des points de retrait de proximité de leur réseau. C’est le cas de Relais Colis ou de Mondial Relay par exemple.
StandardLa livraison standard est une livraison “ordinaire” c’est-à-dire une livraison dans laquelle il n’y a pas de raccourcissement en termes de délai de livraison.  Son principal avantage est qu’elle est la méthode de livraison la moins coûteuse, à la fois pour le commerçant et le client. Elle est également idéale pour les colis volumineux.
ExpressContrairement à la livraison standard, la livraison express est par définition une livraison accélérée, permettant de livrer un colis à J+2 voire J+1.

Aujourd’hui la gratuité est de plus en plus la norme ! Pour pouvoir la proposer aux consommateurs, beaucoup de marchands réinjectent en réalité le coût du transport dans le produit, ce qui implique de vendre des produits un peu plus cher.

Une alternative serait de faire appel un commissionnaire de transport pour réduire au maximum le coût du transport. Métier encadré par l’état, un commissionnaire de transport est un “grossiste du transport” qui achète et revend du transport en volume. De fait, cela leur permet de pratiquer des tarifs extrêmement compétitifs.

Shippingbo possède un réseau de commissionnaire de transport partenaires avec qui nous pouvons vous mettre en relation pour profiter d’offres exclusives.

Envoi de colis Point Relais à partir de 3,30€ (250 à 750g)
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Étape 6 : adopter une stratégie logistique performante pour tenir mes promesses de livraison

Au-delà de l’aspect marketing ou commercial, un autre aspect, peut-être le plus important, est à réfléchir et à anticiper lorsque l’on souhaite vendre en ligne :  la logistique. Partie invisible d’une activité e-commerce, la logistique est parfois sous-estimée et peu anticipée par les marchands.

Avant de commencer cette nouvelle partie, découvrez quel modèle logistique est le plus approprié à votre activité et à vos objectifs.

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Les retours d’expérience de nos clients nous ont donné plusieurs pistes de réponses :

  • Inconsciemment, la logistique n’est pas la première chose à laquelle on pense lorsqu’on se lance en ligne. On pense au produit, au site e-commerce, bref ; à la partie visible par le consommateur.
  • C’est un métier à part entière, et qui plus est technique, qui peut effrayer, surtout lorsque l’on se lance,
  • On ne prend pas mesure de l’importance de la logistique  jusqu’à ce que l’on soit confronté à des problématiques qui affectent votre rentabilité : délais d’expédition, ventes hors stock, manque d’efficacité dans la préparation, difficulté à gérer des pics d’activité….

Vous le comprenez certainement à la lecture de cet article : si vous souhaitez vous lancer dans la vente en ligne, nous vous conseillons évidemment de faire de la logistique une priorité, pour la simple et bonne raison que la satisfaction de vos futurs clients sera conditionnée en grande majorité par votre logistique, et plus précisément par votre capacité à expédier la bonne commande, au  bon client, dans les meilleures délais, et dans les meilleures conditions.

Elle est d’autant plus importante que si vos performances logistiques ne sont pas au rendez-vous, vous mettez en péril votre e-réputation et risquez la fermeture de votre compte sur les marketplaces, ces dernières imposant des KPIs de performance extrêmement élevés. Mais pas de panique, pour cela, un bon nombre de logiciels e commerce existent et peuvent vous aider.  

Mais alors, par où commencer ?

Le point de départ de votre réflexion doit être le stock. Le choix de votre modèle logistique va en effet varier en fonction de si vous souhaitez posséder/gérer le stock ou non. Voyons en détail les deux cas de figure :

Option 1 : “Je souhaite commencer à vendre en ligne sans stock” (dropshipping)

Ce premier cas de figure est ce qu’on appelle le dropshipping. Le concept est assez simple : vous ouvrez une boutique en ligne, vous négociez avec un fournisseur un contrat de dropshipping et à chaque fois que vous ferez une vente, c’est le fournisseur qui fera parvenir directement le produit au client. Le fournisseur assure donc toute la partie logistique pour vous. 

Dans tous les cas, pour faire du dropshipping, les marchands doivent à minima avoir un site de vente en ligne et un catalogue produit.

AvantagesInconvénients
→ vendre en ligne des produits sans les avoir en stock,
→ se délester de la logistique et de tout ce que cela engendre en termes de coûts (ressources humaines, entrepôt, stockage, matériel, temps..)
→ focalisation sur la vente et le sourcing
→ vendre des produits qui existent déjà
→ pas besoin d’investir de grosses sommes d’argent
→ idéal pour tester de nouveaux marchés
→ être tributaire du fournisseur en matière de livraison : les délais sont souvent longs
→ la qualité du produit
→ une maîtrise des prix assez difficile (elle dépend largement des décisions du fournisseur)
→ pas de maîtrise sur l’expérience post-achat

À noter : idéalement, si vous souhaitez pratiquer le dropshipping, vous devez avoir une vision continue et en temps réel sur les stocks de votre fournisseur. En effet, vous ne pouvez pas vous permettre de proposer des produits à la vente qui sont en rupture de stock !

Option 2 : “Je souhaite posséder le stock

A l’inverse, dans le cas où vous souhaitez posséder le stock, c’est à dire en être le propriétaire, stocker vos produits et les expédier vous-même, plusieurs modèles logistiques s’offrent à vous :

Option 2.1 : La logistique internalisée

Ce premier modèle consiste à réaliser toute la partie logistique vous même et de stocker vos produits dans votre ou vos propres entrepôts. Ainsi, vous êtes le garant de la préparation, de l’expédition et de la bonne réception des commandes par le consommateur, bref, de l’expérience d’achat vécue par le client final.

Ce modèle implique d’avoir un lieu de stockage (entrepôt/magasin), d’embaucher des ressources humaines, d’investir dans des équipements et des outils nécessaires à la bonne préparation des commandes.

Pour scaler rapidement et automatiser le plus possible toutes les tâches liées au traitement de vos commandes e-commerce, nous vous conseillons d’avoir recours à une technologie logistique e-commerce telle que Shippingbo . 

“Notre solution a été conçue pour aider les marchands, qu’importe leur stade de développement et leur volume de commandes, à optimiser l’ensemble de leur chaîne logistique : depuis la récupération des commandes, jusqu’à l’expédition et la livraison. Et oui, car nous ne le répéterons jamais assez: la logistique est primordiale dans TOUTE activité e-commerce : c’est la garantie pour les marchands de toujours tenir leurs promesses de délais, d’honorer leurs commandes, d’expédier les bonnes commandes, etc. Bref, c’est la garantie d’offrir la meilleure satisfaction au consommateur final et donc d’augmenter ses chances de le fidéliser.”

Marc HERICHER, CEO de Shippingbo

Ainsi, la technologie Shippingbo est constituée de trois briques qui prennent en charge et automatisent l’ensemble de la chaîne logistique :

  • Un OMS, de l’anglais Order Management System, que l’on peut traduire par “solution de gestion de commandes”. L’OMS e-commerce agit comme un pont qui relie l’entrepôt (et donc, le WMS) du marchand à ses canaux de vente (son site e-commerce, les marketplaces sur lesquelles il vend, les ventes privées…). Ainsi, dès qu’une commande est passée sur un canal de vente, ces dernières sont transmises à l’OMS, qui lui-même les transmet à l’entrepôt, et tout cela, en temps réel. A l’inverse, les mouvements de stock en entrepôt à chaque commande passée remontent de l’entrepôt vers L’OMS puis les sources de vente. Cela évite ainsi de réaliser des ventes hors stock ! Bref, vous l’aurez compris, l’OMS est un logiciel e commerce qui intervient en début de chaîne logistique pour la récupération des commandes.
  • Un WMS, de l’anglais Warehouse Management System, que l’on peut traduire par “solution de gestion d’entrepôt”. Le WMS est la deuxième brique de Shippingbo : c’est la brique qui équipe l’entrepôt. Ainsi, comme expliqué précédemment, une fois qu’une commande est passée, l’OMS la transmet en temps réel au WMS pour préparation (exemple : commande passée à 8h00 sur un canal de vente, tombe ensuite en statut “à préparer” dans le WMS à 8h02). Pour préparer leurs commandes efficacement, les marchands pourront profiter d’un large panel de fonctionnalités offertes par le WMS. En ce qui concerne l’organisation de l’entrepôt en lui-même, notre WMS permet également d’opérer une gestion avancée et optimale de l’entrepôt (gestion des emplacements de produit, de picking, de réserve, réservations de stock…).
  • Un TMS, de l’anglais “Transport Management System” que l’on peut traduire par “solution de gestion des expéditions”. Enfin, vous l’aurez compris, une fois que les commandes ont été récupérées par l’OMS puis préparées avec le WMS, elles doivent ensuite être expédiées. C’est là qu’intervient le TMS. Le TMS va globalement permettre aux marchands de connecter n’importe quel contrat transport et d’imprimer leurs étiquettes multi-transporteurs et autres documents (CN23, factures…) pour assurer la bonne expédition de leurs colis.

Au-delà de ces trois briques fonctionnelles, c’est un réel Shippingbo possède des connecteurs natifs avec plus de 200 acteurs de l’écosystème e-commerce : marketplaces, ventes privées, sites e-commerce, transporteurs, commissionnaires de transport, ERP… Ce nombre conséquent de connecteurs permet aux marchands de saisir de nouvelles opportunités de business et de scaler sereinement, sans se fermer de porte, ni engendrer de frais supplémentaires (la maintenance évolutive et corrective des connecteurs étant inclus dans leur abonnement !)

AvantagesInconvénients
Maîtrise des process logistiques,
→ Agilité ans le lancement de nouveaux produits
→ Maîtrise de l’expérience client (qualité, préparation, délais)
→ Visibilité et maîtrise des produits
Investissement financier, humain, matériel
→ Investissement conséquent de temps
→ Avoir les bonnes méthodologies et une bonne connaissance de la logistique

Option 2.2 : Logistique externalisée

Contrairement au précédent modèle, ce modèle logistique consiste à confier la préparation et l’expédition de vos colis à un professionnel de la logistique e-commerce. Il en existe plusieurs : 

→ Les logisticiens “classiques” aussi appelés “3PL” pour Thirty Part Logistic,
→ Les plateformes fulfillment des marketplaces, c’est-à-dire les services logistiques et entrepôts des marketplaces qui vous proposent de stocker vos produits et de les expédier pour vous au consommateur final. 
En plus de ses connecteurs, Shippingbo possède un réseau de partenaires logisticiens spécialisés dans le e-commerce. Nous mettons ensuite les marchands en relation avec les logisticiens et les équipons d’un extranet afin qu’ils puissent superviser, l’activité logistique opérée pour eux (statut des commandes, stock physique…)

Option 2.3 : Logistique hybride

La logistique dite “hybride” est une logistique à la fois interne et externe. Très concrètement, il s’agit pour un marchand de gérer plusieurs entrepôts – et donc par conséquent les stocks – simultanément. 

Il peut par exemple s’agir de gérer le stock réparti dans un entrepôt interne, mais également dans l’entrepôt d’un logisticien ou d’une plateforme de fulfillment. 
Shippingbo est également un logiciel e commerce capable de vous accompagner pour mettre en place ce modèle logistique notamment grâce à son OMS. En effet, gérer plusieurs entrepôts implique de savoir depuis quel entrepôt la commande devra être expédiée. Pour ce faire, il est nécessaire de mettre en place ce que l’on appelle des “règles d’aiguillage”. Ces règles d’aiguillage vont être décidées et paramétrées par le marchand : disponibilité du stock, localisation de l’entrepôt (vis à vis du consommateur), typologie d’envoi (BtoB ou BtoC), etc.

AvantagesInconvénients
→ Mutualiser sa valeur de stock (par exemple, si au total j’ai 100 unités disponibles dans l’ensemble de mes entrepôts, alors la valeur de 100 sera diffuser sur l’ensemble de mes canaux de vente)
→ Ne pas dédié son entrepôt à un canal de vente spécifique (par exemple, expédier les commandes de votre site e-commerce avec Amazon ou Cdiscount)
→ Garder la main sur la distribution de ses produits
Nécessite d’avoir une bonne technologie pour piloter les stocks et aiguiller les commandes
→ S’entourer des bons partenaires

Idéalement, voici ce que nous conseillierons aux marchands qui se demandent quel modèle logistique choisir :

  1. De manière générale, nous conseillons aux marchands qui débutent dans le e-commerce de commencer par stocker leurs produits eux-même, pour plusieurs raisons : 

→ Cela leur permet de mieux appréhender et connaître le métier, et d’ainsi mieux collaborer par la suite avec un prestataire externe dans le cas où ils leur confient tout ou une partie de leur stock, 

→ Cela permet de maîtriser ses process logistiques dans un premier temps ainsi que ses produits

→ Enfin, cela donne également la possibilité de tester le marché

  1. Ensuite, lorsque le volume de commandes est de plus en plus conséquent, il devient intéressant stratégiquement pour le marchand d’externaliser une partie de son stock chez un logisticien. 
  2. Enfin, il peut être intéressant d’utiliser les entrepôts logistiques des marketplaces (plateforme fulfillment) pour des sujets de visibilité.

Enfin, en ultime conseil, si vous multipliez les canaux de vente sur lesquels vous vendez, faites appel à un gestionnaire de flux et à un repricer. Cela vous aidera à dupliquer facilement vos fiches produits et à gérer votre stratégie tarifaire au mieux, sans sacrifier vos marges !